Hips, ché quoi ton hébercheur ?
J’étais hier soir à ma première réunion de bloggueurs « Paris Blogue t’il ? » avec quelques camarades : 2 associaux, la Messante au top accompagnée de Jean-Bernard Veradent, et 1 trètrèssocial de ma connaissance. Un trètrèssocial est une personne parfaitement capable, en l’espace de 2 heures, de faire la connaissance, dans une assemblée fournie, de tout un tas d’inconnus d’âges et de conditions diverses. Cela n’en finit pas de m’épater. Non, jeune homme, non seulement tu ne me fais pas honte, mais en plus je suis admirative.
Car les deux autres et moi, sommes visiblement plutôt du genre à rester collés à notre bière. Je dis visiblement car à cette occasion j’ai fait la connaissance du famous Khazad, guère plus entreprenant avec les quidams que ma vile camarade et moi-même. Nous sommes à peine plus loquaces quand de sympathiques bloggueurs nous rejoignent pour nous questionner sur des sujets essentiels comme la nature de notre hébergement. J’aurais bien parlé de mon F1 avec (petite) terrasse, mais là il s’agissait de comparer les mérites de Blogger avec les autres systèmes. Par malheur, on ne les connaît pas car ils existent depuis 2 jours, jour même où nous publiions notre 400ème post. Pas de chance, on s’en fout de l’hébergement, trouvons un autre sujet plus « fit » entre nous. Et sur quoi on écrit ? Ah… Un conseil, va lire parce que c’est… difficile à présenter. C’est touffu et vide à la fois. Ecrire sur rien, c’est possible, tu verras. On le fait tous les jours Marie Brizard et moi, aussi bien sur les blogs que dans le cadre de notes professionnelles extravagantes sur la mise en place de process des synergies prospectives en matière de développement durable.
Pour combattre la nervosité du début de soirée, nous entamâmes une thérapie de relaxation par la bière, méthode éprouvée, dont l’utilisation ne doit toutefois pas se prolonger au-delà des limites de la décence gastrique, sinon, burp… Une fois la détente installée (5 bières plus tard), il s’en suivit un festival de réflexion de haute volée, parfois à caractère licencieux, mais toujours dans le respect de goûts de chacun, c'est-à-dire concernant Khazad, dans le culte de Marc Lavoine.
Nous regagnâmes vaillamment notre domicile, bien bien détendus… J’ai conduit, c’est dire, c’est la deuxième fois en 10 ans que je touche un volant.
Dire que je me souviens parfaitement de toutes les personnes au pseudo étrange que le trètrèsocial a gentiment rabattu vers nous, sans doute pas, mais je m’en vais faire un tour sur les blogs dont j’ai entendu parler, pour peut être découvrir de nouvelles affinités blogguistiques. On était là pour ça... pas que pour picoler quand même.