Des mots, des verbes

Rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien rien...

Quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand quand ???

En attendant, que des dîners gentils et rasoirs ou des matages en règle jamais suivis d’effet ou des ptis coup d’œil en coin hésitants et peureux.

Attendre est lassant, agir est risqué, hiberner n’est plus de saison. Je ne frémis plus, je n’espère plus, je rêve encore moins. Je vais inventer de nouveaux verbes pour supporter ma vie.

Marie-Dominique vous souhaite la bienvenue

Chers auditeurs de France Inter, chers internautes de la page « Blog à part », Marie-Dominique vous souhaite bien le bonjour. Un avertissement pour commencer : ne pas m’appeler Marie-Dominique, ça pourrait m’agacer. C’est juste un nom comme ça, parce que David Abiker ne voulait pas m’appeler « Machine », ça ne se fait pas et il est poli comme garçon. Ah ! David Abiker, un gars qui a réussi à obtenir salaire avec un travail qui consiste à lire des blogs. Trop fort. En même temps, je ne le ferais pas, vu que les blogs, globalement, ça m’emmerde, à part les gens qui sont à droite là, que je vous encourage à visiter.

D’ailleurs, pendant que j’y suis, les plus attentifs d’entre vous noterons que j’ai, sur cette page même, dit du mal de France Inter. Parce que le 7-9 de Stépane Paoli, et son cortège de bons sentiments politiquement corrects, me sort par les oreilles. J’ai ptet même dit du mal d’Arrêt sur Images, en tout cas, j’en ai parfois pensé, c’est dire s’il est pas rancunier David Abiker. Du coup, je suis allée voir son blog, et je m’y suis amusée, ce qui m’arrive environ 2 fois par an sur des blogs inconnus. Et c’est même pas un deal.

Sinon, je dois vous prévenir qu’on vous a enduit dans l’erreur (non, vous n’êtes pas sur un Skyblog). Cette semaine, je commence un nouveau travail chez M. Thénardier qui va me faire bosser comme une ouf. Donc l’ennui au bureau ne sera plus le concept éditorial de ces pages. Dire du mal de son patron non plus : il lit, parfois. Coucou patron !!! Ouais, j'y retourne...