mardi 26 août 2003

Jon qui rit, Jon qui pleure
Mais qui enlève le haut.

Qu'on ne croit pas que je regarde l'athlétisme pour mater des mecs en shorty moulant. Ca n'est pas ma volonté première, j'aime bien le sport avant tout, mais il faut bien avouer que quand l'athlète est bien de sa personne, le port de shorty moulant est un atout supplémentaire pour la médiatisation d'une discipline.
Rouleur de mécanique comme le sont les sprinters américains, un brin facétieux (il l'a confirmé), Jon Drummond est ce qu'on peut appeler un beau mec, quoique qu'un peu trop en muscles pour moi. Il a un regard bleu sidérant et accessoirement, il chante bien le gospel (cf Atlanta 96).
L'avantage avec ce garçon, c'est que quand il est content (vainqueur de sa série), il enlève le haut, et que quand il est triste (disqualification pour faux départ)… il enlève le haut aussi.
Bien que peu au fait du nouveau règlement sur les faux départs, la ménagère devant sa télé a immanquablement envi d'aller consoler ce grand garçon tout triste et tout pleureux en shorty moulant. Voilà un mec qui concourt à élargir le public de l'athlétisme. Les télés devraient lui accorder une prime.