jeudi 15 juin 2006

Nevermind the balloches

Il y a 2 nuits, j'ai fait un rêve pour le moins étrange et perturbant. J'ai rêvé qu'un beau matin, en me réveillant, je constatais avec effroi et dans mon entre-jambes, l'apparition dans la nuit d'une paire de couilles. Si, c'est vrai, ce n'est même pas un bidon juste pour le plaisir d'écrire plein de fois le mot « couilles », car tu le sais fidèles lecteur, ici on n'a pas besoin de prétexte pour user de « couilles » à tord et à travers.
Donc, en ce petit matin, deux moches balloches m'étaient apparues, mais sans le trucmuche qui va habituellement avec. Juste deux moches couilles fripées qui pendouillent. Et même dans mon rêve, je trouvais ça super pas cool et je me demandais bien ce que j'allais faire avec.
Le genre de rêve qui pue le Freud à plein nez. J'avais beaucoup fait dans la dent qui tombe, mais les couilles qui poussent, faudra m'expliquer le sens caché. J'espère juste que ce cauchemar n'avait aucun caractère prémonitoire.
En revanche, la nuit suivante a laissé place à un torride rêve d'ébats effreinés. 4 heures de sommeil, 14 réveil au moins mais un érotisme débridé en compagnie d'un second protagoniste de choix. Pour le moral, plus réparateur encore que le sommeil.
Le lendemain, dans la vraie vie éveillée et à ma grande surprise, voilà mon petit camarade de rêve cochon qui se pointe dans mon champ de vision. Ni une ni deux, j'ai vu là un signe et je me suis décidée à transformer le rêve en prémonition, et par là même à rompre de longs mois d'abstinence (de merde). La suite nous appartient, mais la cassette de vidéosurveillance appartient, elle, au gardien du parking, qui ne devrait pas tarder à la coller sur Internet.