vendredi 20 février 2004

Ouverture

Il n'est pas de hasard,
Il est des rendez-vous,
Pas de coïncidence,
Aller vers son destin,
L'amour au creux des mains,
La démarche paisible,
Porter au fond de soi,
L'intuition qui flamboie,
L'aventure belle et pure,
Celle qui nous révèle ,
Superbes et enfantins,
Au plus profond de l'âme.

Portée par l'allégresse,
Et la douceur de vivre,
De l'été qui commence,
La rumeur de Paris,
Comme une symphonie,
Comme la mer qui balance.

J'arrive au rendez-vous,
Dans l'épaisse fumée,
Le monde me bouscule,
Réfugié dans un coin,
Et observant de loin,
La foule qui ondule,
Mais le choc imminent,
Sublime et aveuglant,
Sans prévenir arrive.

Je m'avance et je vois,
Que tu viens comme moi,
D'une planète invisible,
Où la pudeur du c?ur,
Impose le respect,
Et la confiance sereine,
Et plus tu t'ouvres à moi,
Et plus je m'aperçois,
Que lentement je m'ouvre,
Et plus je m'ouvre à toi,
Et plus je m'aperçois,
Que lentement tu t'ouvres.

Il fut long le chemin,
Et les pièges nombreux,
Avant que l'on se trouve,
Il fut le long le chemin,
Les mirages nombreux,
Avant que l'on se trouve.

Ce n'est pas le hasard,
C'est notre rendez-vous,
Pas une coïncidence.

Etienne Daho / Corps et âmes

Vis ma vie

Cette manie qu'ont les chefs de vouloir s'essayer à faire notre travail quand on s'absente, au lieu d'user des technologies les plus avancées, du type téléphone mobile, pour solliciter notre collaboration à distance. Les miens ont voulu essayer leur panoplie d'attachée de presse... A Noël prochain, qu'ils se fassent offrir Superman ou Dracula, plutôt... Est-ce que moi je fais mumuse au chef quand ils sont pas là ? Non. Alors ?

mardi 17 février 2004

A l'écoute de mes lecteurs…

A la personne qui a atterri ici en cherchant "ça ne s'essore pas", je conseille de vérifier que le tuyau d'évacuation de sa machine n'est pas coincé ou tordu.
A celui qui cherchait, "migraine + ophtalmique + taches + roses" (Mame la Folle ?), je conseille de consulter ou d'arrêter les substances illicites.
A Monsieur A., que je remercie pour sa lecture attentive, je réaffirme haut et fort que les pieds d'estale, les boucs et missaires, les alcooliques invertébrés et leurs delirium très minces, les poteaux roses, les bas qui blessent et les quatre coins de l'Hexagone auront toujours " droit de citer " sur ce blog…(bon d'accord, la prochaine fois je mets les guillemets).