jeudi 7 septembre 2006

1, 2, 3, Mickey, Dumbo et moi

Dimanche dernier, j’ai eu 4 ans. For the first time in my life, je suis allée au Pays merveilleux de Mickey INC. C’est mon Dumbo à moi (je parle de tes oreilles mon ange…) qui a eu cette mirifique idée destinée à chasser de mon esprit les petit soucis du quotidien, celui-ci étant actuellement peuplé de casse-couilles qui ne comprennent pas un mot de ce que vous leur avez expliqué 575 fois. Qu’il en soit remercié.
Parce que la potion a fait son effet : une grosse banane que j’arborais. C’est dingue de truc, un château bidon, une maisonnette rose, une musique pourrie mais joyeuse et voilà une trentenaire blasée qui rigole comme une bécasse en passant au milieu des nains, assise dans son pti train qui fait du 2. Juste des nains en plastoc qui bougent les yeux... Et je ne cause même pas du bateau au milieu des poupées ou des pirates, du navion sur Dumbo (le vrai), des secousses comme dans Star War et autres niaiseries, mais pas des qui font peur et qui donnent la gerbe (car ça me fait peur et ça me fait gerber après).
Pourtant, même sans Space Mountain, il est gerbant Msieu Disney, à harceler comme ça les tirelires des bambins et surtout celles des parents. Trop cher ton bonheur la souris. Ou alors juste entre adultes avertis, sûrs de ne pas craquer sur les oreilles en peluche ou le sabre du pirate. Quoi que...
Et puis, mon ami Mickey, ton burger il est tellement pourri qu’on a l’impression que ce vieux Ronny a fait un stage chez Gagnaire avec ses nuggets sauce moutarde.