lundi 8 septembre 2003

Ni bite ni couille
J'chui championne


Parmi, ce qui a changé dans mon boulot, en dehors de mes horaires qui sont devenus délirants, de ma charge de travail qui est harassante et de la reconnaissance de mes supérieures qui est étonnante (le directeur Marketing, trouve ma note analytique " intéressante et très bien faite ", il diverge juste sur un pont, mais vas-y mon Patoche, diverge, tant que tu fais "répondre à tous" avec tes compliments…), c'est que je ne suis presque plus vulgaire. Ca c'est un vrai changement par rapport à le Bocravail, mon ancien employeur, que j'aime beaucoup (surtout depuis qu'ils lisent ce blog pour me chercher des emmerdes).

Je tiens pour ainsi dire toute une journée sans dire ni bite, ni couilles, un truc que je n'aurais pas pu il y a encore quelques mois. Mais là, tranquille, j'y pense même pas. Alors que mes anciens comparses tournent toujours à 5 bites à l'heure…