mercredi 12 juillet 2006

La surprenante info du jour

Et ben moi, Mon Lapin, j'aurais parié mes genoux qu'il était déjà mort Syd Barrett. Comme quoi...

lundi 10 juillet 2006

A propos de Juliette...

Pour les plus lents d'entre vous : je ne ressemble pas à Juliette Binoche. A mon grand étonnement, il existe une minorité récurrente qui trouve que si, mais, je le rappelle, il y a toujours des gens qui trouvent qe Chirac est un bon Président, alors... Et en pourcentage, je crois que ceux qui trouvent que je ressemble à Binoche sont encore moins nombreux, c'est dire...

Zidane y va frapper…

Tous ces bien-pensants qui cassent du Zizou ce matin, me gavent. Moi, Zidane, il m’énerve quand il joue comme une savate tout en continuant à nous polluer dans des pubs pour téléphone mobile. Mais tant qu’il joue au foot comme un Dieu, il peut en distribuer des mandales, ce qu’il fait chroniquement, ça ne me dérange pas. Je dirai même que ça ajoute à son sex-appeal naturel déjà bien développé. Non que la violence m’affole, ça me révulse même (quoi que quand j’y pense, je me dis que j’ai surtout fréquenté des gars qui ont le bourre-pif facile). Mais ce côté béni-oui-oui qu’il se traîne dans les médias, à pas être foutu de dire du mal et à sourire bêtement en bredouillant, juste pour faire le gentil-garçon-gendre-idéal-modèle-d’intégration, c’est insupportable à la longue. Tout ça pour vendre de la Volvic. En vrai, il est sanguin le gars Zidane et c’est comme ça qu’on l’aime. De temps en temps, il s’essuie les pieds sur un Saoudien ou il redresse le plexus d’un Italien, la belle affaire ! Il reste le meilleur footballeur qui ait porté le maillot bleu, un type bien aussi et accessoirement un gars qui a rendu la calvitie super sexy (et c'était pas gagné).

Et au fait, j’ai trouvé une raison de me réjouir de la défaite : le plateau d’après match sur TF1. Jean-Pierre Pernaut qui interview Lorie, c’était la chiraquie qui se regardant de nombril. Si les Bleus avaient gagné, ceux là se seraient encore crus obligés de se réjouir du triomphe d’une France que, dans le fond, ils ne peuvent pas sacquer. Ce matin, pour tous ceux qui n'ont pas pu récupérer la victoire à leur profit, le foot redevient un sport de beaufs et de prolos.