Rien à me mettre
Constat d’horreur. Je passe ma vie à acheter des fringues et malgré tout, je n’ai rien à me mettre, c’est officiel. Une plombe ce matin à fouiller frénétiquement mon placard pour constater le drame. Une bonne quinzaine de mes pantalons et jupes d’hiver en taille 38 vont rejoindre l’armoire normande déjà full de cette personne, pourtant fort mince, mais au fessier rebondi. Tous les fringues achetés avant novembre 2003 : trop grands. Adios.
Certes, la recrudescence de soirées « boudin-purée » (et vodka) pourrait faire son œuvre et ma ligne quasi sylphide pourrait en souffrir. Non, car mon entraînement sportif intensif me permet de m’envoyer du calendos high fat et du pâté au gras tous les soirs. D’ailleurs je le fais.
Une seule solution à mon problème: investir. Et ça me coûte, enfin ça va me coûter grave. Hmeuh, Redoute, voir des produits de marque (nooon ? ? ? c’est dingue ! ! !) dans divers stocks et magasins d’usine (ah oui, pas au prix fort !). Le festival de la fripe 2004 est ouvert.
mardi 19 octobre 2004
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