jeudi 25 novembre 2004

Pais tropical

Dans deux mois, je pars au Brésil. Ca me changera du pont d’Austerlitz, les bagnoles et le métro, les péniches, les junkies sous les voies sur berges, les façades vitrées avec des bureaux gris derrière, les couloirs et le local à café joli comme dans une résidence médicalisée.

Enfin, relativisons ma joie, car je pars avec ma mère. Outre le fait qu’à 31 ans, c’est totalement ridicule, je peux prévoir quelques beaux épisodes nerveux comme seule cette personne peut m’en occasionner.