lundi 19 décembre 2005

La joie m’habite

La joie de la Nouel est là désormais. Y compris la joie d’avoir ma mère au téléphone 56876 fois par jour, pour me demander combien de marrons on met autour de la dinde. Et d’abord, finalement, elle a acheté « La marche de l’Empereur » et les chats ont adoré. Vendredi membre du jury à Cannes en 2006 ?

La joie de la Nouel, c’est surtout la joie de ne pas se faire piétiner dans les magasins parce qu’on s’est démerdé autrement. La joie de ne pas se faire péter les roubibis (Copyright) par le calendrier des postiers et la kermesse du curé. C’est aussi la joie de ne pas se bourrer de foie gras, vu que ce soir, on fait raclette. J’y ajoute la joie de ne pas recevoir en cadeau un service à escargots ou un cintre brodé à mes initiales vu qu’on me demande ce que je veux pour ma Nouel à moi, merci les gars.

La joie de la Nouel et celle de la bière nous avaient envahies samedi soir, avec mes camarades ci-dessous cités. Alors laissons nous aller à la joie, parce que si on y croit, le bonheur n’est peut être pas si loin, il suffit de lui laisser sa chance et d’ouvrir son cœur et la porte de sa maison à la plénitude de la félicité dans l’allégresse qui sera nôtre si on le veut vraiment en lui tendant les bras que l’on a grands ouverts pour que les rêves deviennent enfin réalité.

Putain, en attendant, ça fait long quand même.