jeudi 22 mai 2003

Peace on the Bôcravail

Hier fut un jour d’exception à le Bôcravail (qui est le mien, mais plus pour longtemps). C’était un peu comme le jour de Noël dans Dallas, quand même J.R. est gentil. C’était un peu le jour du « grand pardon » comme aurait pu le dire la Madame M., qui elle aussi était dans de fort bonnes dispositions (c’est dire).

Certes, les gens de le Bôcravail étaient passablement alcoolisés pour en arriver à passer un bout de soirée ensemble, même pas sous la contrainte et après avoir déjà passé la journée ensemble. Il y avait là des gens que j’exècre ou avec qui je n’ai jamais échangé plus de 3 syllabes. Le climat était détendu et l’ambiance sympathique. Cause de notre soudaine fraternisation : nous étions tous réunis autour d’une poupée vaudou virtuelle à l’effigie de Juanita, notre chef odieux et grossier (de préférence en public) et nous lui avons planté joyeusement des aiguilles verbales vengeresses. Avec du champagne et des petits-fours, ça fait un bien fou.
Problème : entre les réceptions, mon pot de départ et la nécessité de finir les restes pour pas jeter, on sombre dans l’alcoolisme mondain.

Faux culs

71 % des lecteurs de "20 minutes" ne s’intéressent pas aux blogs, qu’ils jugent exhibitionnistes et égocentriques. Combien parmi eux vont acheter l’album de Florent Pagny (où il dévoile ses problèmes fiscaux) ou lire les flags bidonnés dans Voici chez le coiffeur ?

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