Moi aussi je le vaux bien
Dans quelques minutes, je pars pour une petite semaine, direction les portes du désert. Enfin, le désert avec 80 gugusses au mètres 2. Et pour moi, la promesse de fiévreuses parties de Uno avec un adversaire de 7 ans et demi.
Mais avant de partir, je me dois de rattraper un oubli fâcheux pour la réputation de ce blog, qui a toujours ouvert grand ses pages aux questions capillaires.
Je passe donc aux aveux, Mesdames, Messieurs.
J'ai une nouvelle coupe depuis un mois et je ne vous en ai même pas parlé. Parce que je voulais être sûre. Et au bout d'un mois, de réveils critiques en lavages fréquents, je suis convaincue de la réussite majeure que constitue cette nouvelle coupe, limite frange mais pas trop. Juste une petite mèche qui soit tombe sur l'oeil, soit s'élève délicatement dans l'air. Limite on pourrait croire que j'ai du volume, alors que c'est une totale illusion. Ce qui me satisfait le plus, c'est le style "coiffé, décoiffé" que j'arbore quand je fais peu d'efforts de coiffage. C'est même largement mieux que quand j'en fais, alors pourquoi se faire chier, je vous le demande...
Cet exploit capillaire a été réalisé par la coiffeuse de ma collègue, qui l'avait si bien briefée que cette brave artisane se sentait investi d'une véritable mission : "oui, on va les arranger vos cheveux, il y a forcément un truc à faire". Cette même coiffeuse accompagne Farrah Fawcett depuis un an dans cette entreprise délicate que constitue la repousse pour une femme à cheveux courts.
Qu'elle en soit présentement félicitée.
dimanche 16 avril 2006
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