lundi 17 octobre 2005

Reprise du cours normal du vide

Atterrissage vendredi soir à Orly, fatiguée mais satisfaite. Réveil dans mon lit samedi matin, une boule d’angoisse en travers de la gorge. Et je fais quoi moi, maintenant ? Même pas les moyens de dépenser de l’argent, même pas le droit de trop picoler dans mon canapé. Rien à faire, rien à dire. Sauf que c’est même pas vrai d’abord que seules les filles pleurent, et ça me chamboule.
Retour au bureau. No comment tellement c’est vide aussi. Tiens, faute de claquer l’argent que je n’ai pas, je vais pulvériser mon budget, ça occupe et c'est pas mon fric.