Tous les espoirs sont permis ou à moi Hugh Grant
Comme quoi, il ne faut pas désespérer, même quand on a un gros cul. Là, je sens que vous êtes nombreux à devenir attentifs (je dis nombreux car la variante masculine de "gros cul" est "gros bide", mais ça marche aussi). Le récent tournoi de Rolland Garros nous a révélé (à moi en tout cas, car je suis allergique à Voici, même chez le coiffeur) une étonnante liaison amoureuse (ou charcutière, lire la suite) entre Matthew Perry et Jennifer Capriati. Pour les plus lents d'entre vous (ils se reconnaîtront comme toujours), Matthew Perry, c'est l'éternel adolescent (il a 42 ans) qui interprète le personnage de Chandler dans la série Friends. Il s'est également fait remarquer au début de la série par une liaison assumée (tu m'étonnes !) avec Julia Roberts, qui n'est pas à proprement parler le dernier des boudins. Jennifer Capriati est une joueuse de tennis. Cette présentation devrait suffire, car de nos jours, fini les gringalettes qui faisaient mumuse avec la babale. À l'instar des Williams, Mauresmo et Pierces, la ptite est gracieuse comme un bûcheron. Je n'irai pas par quatre chemins : c'est un tas. Gros cul, épaules de déménageurs, elle est méchamment boudinée dans sa jupette XL. Elle n'a pas un affreux visage, non, mais tu sens bien que si elle t'en colles une, elle te pète deux ou trois molaires. Bref, résumons, Matthew Perry préfère les grosses. Tous les espoirs sont donc permis, Mesdames (et Messieurs, mais je ne voudrais pas être lourde).
Les fans de la série remarqueront tout de même que le Matthew a lui-même une tendance à la bouboulification puisqu'il lui est arrivé de choper 10 kilos d'une saison sur l'autre de Friends, puis de les reperdre. Aux dernières nouvelles (journal People le soir sur Europe 1), il aurait eu des problèmes de drogue. Soit il est guéri et comme Jenny en a eu elle aussi dans sa jeunesse, ils se sont trouvés, soit, il est dans une phase d'hallucinations au LSD. Ou il préfère vraiment les grosses.
Cette nouvelle intervient alors que j'ai récemment vu "Le journal de Bridget Jones" où une Renée Zellweger, plus Bridget que Bridget, avec un gros cul plein de cellulite, nous emballe le Hugh Grant. S'agit-il d'une nouvelle mode ? Dans ce cas, il faudrait prévenir très vite. Car, on ne se casserait pas le cul à faire des régimes yahourt, du sport (chez Véronique et Davina pour certaines), des massages au gant de crin et des enroulements à l'algue rouge s'il existe un réel espoir de se taper Hugh Grant avec un gros cul.
Que les autorités compétentes se prononcent dans les plus brefs délais.
mardi 11 juin 2002
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